Qui sommes-nous ?
Une famille belgo-indienne avec trois enfants de 6, 9 et 12 ans.
Fondateurs et propriétaires de Himalayan Ecotourism.
A qui cela s’adresse ?
- Vieux ou jeunes, peu importe …
- Seul ou en famille, c’est égal …
Les grands OUI :
- Vous pensez qu’une meilleure façon de vivre ensemble est possible
- Vous vous inquitez de l’avenir en regard des défis d’aujourdhui et de demain
- Vous désirez retrouver une certaine harmonie avec la nature
- Vous n’avez pas peur de mettre la main à la pâte
- D’ailleurs, les mains dans la terre, ça vous plait !
- Ca vous plairait de vous détacher du mode de vie consumériste
- Vous êtes débrouillard et aimez bricoler
- Vous avez une nature sociale et souriante
Les grands NON :
- Ben, le contraire des grands oui 🙂
Hello, bonjour, namaste ! 🙂
Je vous écris de Saint-Anthème, massif du Forez, vallée de l’Ance, entre 800 et 1600 m d’altitude, sur les premières montagnes de l’Auvergne, à l’Ouest de Lyon.
En cherchant de quoi poser un pied en Europe – l’autre pied restant en Inde – nous avons décidé de déposer bagages dans le parc naturel du Livradois-Forez.
En qualité de bon belges, nous pensons qu’un tas de briques ou de pierres bien arrangé, vaut mieux qu’un gros compte en banque, surtout dans le contexte actuel.
Nous vivons ici en location, mais nous aimerions monter un projet d’habitat partagé, et donc, devenir propriétaire.
Ca vous parle ? Alors, continuons.
La region où nous habitons a un couvert forestier exceptionnel, d’ailleurs, je vous invite à regarder sur Google Earth autour de la petite ville d’Ambert, vous verrez que peu de régions en France sont si boisées. Et c’est bien sûr ce qui nous a attiré ici. Le climat est quelques fois rude en hiver, mais très agréable en été, même en période de canicule.
C’est d’ailleurs un autre facteur déterminant dans le choix de cette région : se localiser à un endroit qui bénéficiera d’un climat agréable dans un futur proche et moins proche, considérant les changements climatiques qui galopent de façon inquiétante.
L’eau coule de partout, les sources sont innombrables, et du coup, de nombreux lieux sont des refuges pour des écosystèmes très riches. Je pense aux tourbières des Hauts de Chaumes, ou aux forêts de Saules, de Bouleaux, de Hêtres et de chênes qui peuplent les anciens cratères du Puy-de-Dôme. Il fait tellement bon de s’y promener pour observer cette biodiversité, méditer à l’arrière d’un vieux Dolmen.
Autres avantages, les propriétés sont très bons marchés. C’est vrai que depuis le COVID, beaucoup de citadins se ruent sur ce genre de régions pour acquérir une résidence secondaire, mais le marché reste très intéressant.
Bon, il y a les inconvénients bien sûr : C’est assez isolé, et donc pour trouver un job, c’est pas idéal. Les petites villes les plus proches sont Ambert et Montbrison (toutes deux pleines de charme), mais elles n’offrent pas beaucoup d’opportunités à ce niveau là… Mieux vaut s’aventurer dans le Livradois-Forez avec un projet entrepreneurial, la possibilité de télé-travail, ou une pension de retraité ! 😀
Quelques photos du Livradois-Forez et de la vallée de l’Ance.





























Pour des raisons qui sont … on va dire … stratégiques, nous avons décidé de revendre notre petit nid d’aigles en Inde. Avec les fonds que cela générera, nous racheterons une maison dans l’Himalaya, et nous rappatrierons le reste en Europe pour investir dans une propriété. Estimation du budget que nous pourrons mettre sur la table : 200.000 euros.
Vous me direz que cela suffit certainement pour acquérir une propriété en bon état dans cette région. Oui, sans doute, mais nous sommes très attirés par le concept d’habitat partagé. Explications :
Nous pensons que l’idée, bien ancrée, de chacun chez soi, dans sa maison sur son terrain avec une clôture autour et un chien pour aboyer sur l’étranger qui passe, sera bientôt une idée désuette.
Ayant habité de nombreuses années dans des villages traditionnels en Inde (rien avoir avec ce qu’on appelle village en Europe), j’ai pu découvrir tous les bienfaits et avantages d’habiter à proximité l’un de l’autre.
En partageant certains biens, des terrains, un atelier, un potager, des animaux, en collaborant sur certains projets, en partageant certaines responsabilités, et en communiquant régulièrement sur la gestion participative d’une propriété commune où, d’autre part, chacun reste chez soi sur sa partie privative, on atteindrait un mode vie beaucoup plus résilient.
Bref, vivre ensemble en respectant la vie privée de chaque famille et en s’entraidant, pour devenir moins vulnérables aux conditions économiques futures qui ne sont pas très encourageantes.
Si cette idée vous parle, vous pouvez continuer la lecture 🙂
A cet effet, je recherche un ancien corps de ferme. Bien souvent, ce sont des fermes en pierre, constituées d’une partie habitation, attenante à une grange et d’autres dépendances comme des écuries, une cave, etc.
Les propriétés avec un habitat «habitable» se trouvent pour une somme qui varie entre 130.000 et 250.000 euros. Au plus c’est cher, au moins il y a de rénovations à faire.
Prenons l’exemple de cette ferme que nous avons visité à Saint-Romain et qui coûte 191.000 euros.
Photos de cette propriété :









































Comme vous pouvez le voir sur les photos, pour ce prix, on a quelque chose de bien fini, habitable immédiatement. Par contre, pour faire un deuxième logement, il faut faire des travaux d’aménagement dans la grange.
Illustrons l’idée d’habitat partagé avec ce cas précis.
La propriété est acquise par une société civile immobilière (SCI) constituée des deux propriétaires, chacun possédant ses parts en fonction de l’argent investit.
Une possibilité dans ce cas, serait que je fasse l’investissement majeur, et que la famille qui nous rejoint sur le projet contribuerait à hauteur de la valeur de la grange et la moitié du terrain, disons 30 ou 40.000 euros. Donc la SCI serait constituée de la famille 1 (150.000 eur) et de la famille 2 (41.000 eur). Il faudrait ensuite investir pour aménager la grange. Si c’est la famille 2 qui investit, ses parts dans la SCI grandissent. Et vice versa.
Dans un premier temps – qui peut s’étaler sur plusieurs années – la partie déjà habitable peut être partagée entre les deux familles, vu qu’il y a deux étages avec chacun des étages : trois chambres et une salle d’eau. Le salon et la cuisine serait alors une partie commune durant ce temps.
Dès que l’aménagement de la grange est terminé, chacun est chez soi, et nous gérons ensemble, un atelier, le jardin-potager, et peut-être … les machines à laver, le système de chauffage, etc.
Il faut aussi retenir que nous ne serions pas présent 12 mois sur l’année, vu que nous continuerons à habiter en Inde une partie de l’année. La propriété sera alors à disposition de l’autre famille pendant ces absences.
Bien sûr, d’autres possibilités sont présentes et se présenterons.
Tout est envisageable/discutable. N’hésitez pas à me contacter 🙂
A bientôt !
Stephan
stephan@himalayanecotourism.com
+33 6 20 60 82 72
+91 9816 091 093
